Test de Viva Piñata DS (NDS)
C'est toujours avec un brin de nostalgie et d'émotion que l'on voit le logo 'Rare' apparaître. Mais il faudra s'y faire, cet éditeur mythique (un peu moins aujourd'hui) responsable de très nombreux hits sur Nintendo 64 est désormais passé dans le giron de Microsoft. Ce qui bien heureusement ne les empêche pas de sortir de temps en temps des jeux sur DS. Après Diddy Kong Racing, voici donc venu Viva Pinata, une licence issue de la Xbox 360.

Des bonbons ou des sorts !
Ce qui frappe d'entrée, c'est la qualité de la vidéo d'introduction, extraite du dessin animé qui a suivi le jeu vidéo Xbox. Eh oui, pour une fois c'est un jeu qui est adapté à une émission télévision, et non pas l'inverse. Un bon point de retrouver régulièrement de telles séances animées au cours du déroulement du jeu mais on regrette malheureusement que ces dernières soient en Anglais non sous-titré, et difficilement compréhensible. A part les gags visuels, une bonne partie de l'humour passe donc à la trappe, et c'est bien dommage.Les pinatas, ces petites bêtes en papier mâché, ont pour origine une tradition qu'on retrouve au Mexique : Vous avez certainement déjà vu ces images d'enfants les yeux bandés, et brandissant un bâton pour essayer de frapper un animal en papier suspendu, et ainsi libérer bonbons et autres gourmandises. Le studio Rare s'en est donc inspiré pour créer ses personnages : Une vraie ménagerie, qui comprend notamment un âne, un ours, un putois... etc. Ce sont eux qui feront office de professeurs dans le cadre du tutorial, peut être un peu léger.
Ceux qui ont déjà essayé l'un des 2 épisodes Viva Pinata (en passant outre l'épisode de type Party Game) sur Xbox 360 seront en terrain connu : On retrouve le gameplay qui a déjà fait ses preuves, le stylet et donc une maniabilité adaptée en plus. Le pad des consoles de salon n'était guère pratique, et l'écran tactile de la DS est bien plus approprié pour les jeux de gestion. Ce qui était l'un des principal défauts de sa grande soeur est donc ici supprimé dans cette version. On passe très facilement à la vue générale, navigue d'une créature à une autre, ou accède aux différents menus d'informations. Les 2 écrans sont parfaitement exploités.
Y a un putois qui habite chez moi
A mi-chemin entre Sim City et les Sims, ce petit paradis de poche vous mettra dans la peau d'un 'jardinier' qui devra développer des aménagement sur son petit lopin de terre pour attirer un maximum de pinatas différents.Les possibilités sont assez nombreuses, et facilement accessibles via une interface plutôt bien faite : Creuser, nettoyer le sol, planter du gazon ou d'autres végétaux, arroser le tout, construire des habitations pour vos protégés (et ainsi leur permettre de se reproduire), etc...
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