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Donkey Kong Bananza A paraître sur Switch 2 le 17/07/2025
Test de Donkey Kong Bananza (Switch 2)

Test de Donkey Kong Bananza : un retour triomphal, une arrivée fracassante !

Voilà plus de deux décennies que nous attendons une aventure originale en 3D de notre gorille préféré. Donkey Kong fait un grand retour en force et il frappe très fort avec Donkey Kong Bananza dont voici notre test complet et plein d'amour !

Test

Il était une fois... Donkey Kong

Le 2 avril 2025, lors de l'annonce de la Switch 2, nous avons eu le plaisir de découvrir l'arrivée d'une exclusivité Nintendo phare de cette nouvelle console, Donkey Kong Bananza, pour une sortie le 17 juillet. L'équipe de développeurs derrière ce nouveau titre n'est autre que celle derrière l'excellent Super Mario Odyssey sorti sur Switch première du nom en octobre 2017. Nous avons donc ici un jeu d'aventure 3D en monde semi-ouvert, intégralement traduit en français, dont le personnage principal est cette fois-ci notre puissant DK !
Test de Donkey Kong Bananza : 19/20
Ce gorille fan de bananes est loin d'être inconnu à la communauté de joueurs. Il y a déjà eu plusieurs jeux vidéo Donkey Kong, dont le premier était sorti sur arcade en 1981, ainsi que des séries animées. Des titres qui ont tous eu beaucoup de succès. Initialement, il s'agit d'aventures plateformes en 2D, sauf Donkey Kong 64 qui fut le tout premier titre en 3D sorti sur Nintendo 64 en 1999. Ainsi, vingt-six ans plus tard, nous avons enfin droit à un second Donkey Kong en 3D !

Si la toute première bande annonce était déjà très accrocheuse, le Nintendo Direct qui lui fut entièrement dédié le 18 juin a mis tout le monde d’accord et a fait grimper la hype jusqu'à son paroxysme. En effet, ce dernier nous faisait découvrir un scénario épique, un gameplay varié et dynamique, un monde colossal et une musique enchanteresse !
Test de Donkey Kong Bananza : 19/20
Après avoir parcouru cet univers en long et en large pendant de nombreuses heures, il est temps de découvrir si cette attente en valait la peine. Donkey Kong Bananza va-t-il se démarquer ou rester dans l'ombre de son aîné Super Mario Odyssey ? Nous vous disons tout.

A la poursuite des voleurs de bananes dorées !

L'Île Lingot est en effervescence. Des bananes dorées, aussi appelées cristaux de banandium, ont été découvertes par nos amis les singes, Donkey Kong compris, le plus grand fan de bananes. Cependant, alors qu'il s'active pour les récupérer, une tempête l'envoie subitement, lui, l'île ainsi que tous les occupants, dans les profondeurs souterraines. Les malfrats à l'origine de cette catastrophe sont les membres d'une société appelée la Void Company. Son président Void Kong ainsi que ses sbires Poppy et Grumpy, dérobent toutes les bananes dorées afin de se rendre au cœur de la planète.
Test de Donkey Kong Bananza : 19/20
Dans ce début d’aventure qui commence sur les chapeaux de roues, notre héros poilu fait rapidement la rencontre d'une étrange pierre qui parle. Mais il s'avère plus tard que cette petite créature n'est autre que Pauline, une jeune adolescente de 13 ans et chanteuse de grand talent. On apprend qu'elle a été enlevée par Void pour d'obscures raisons mais a réussi à s'enfuir.

Il est dit qu'un vœu est accordé à qui atteint le cœur de la planète. Pauline, souhaitant rentrer chez elle et DK voulant récupérer un max de bananes, les deux nouveaux amis vont s'allier et plonger encore plus profondément sous terre à la poursuite de la Void Company, pour une aventure des plus palpitantes.

On peut dire qu'en termes de scénario, on est servi. Que se cache-t-il au cœur de la planète ? Quels sont les desseins de Void ? On a hâte de le découvrir. Et pour cela, nous allons devoir traverser diverses surfaces souterraines appelées strates. Sur chacune d'elles se trouve un nouveau monde grouillant de vie, à découvrir. Difficile d'imaginer qu'il y avait une telle activité sous nos pieds ! On trouve différentes espèces comme d'autres singes ou des zèbres par exemple. Mais la majorité des résidents de ces strates sont des Factotons, des sortes de pierres bleues vivantes qui peuvent prendre diverses formes géométriques à loisir.
Test de Donkey Kong Bananza : 19/20
Tout au long de notre épopée jusqu'au centre de la Planète, il nous faut sauver chaque surface souterraine qui a été corrompue par Void et seules, la voix de Pauline et la force de DK peuvent venir à bout des nombreux obstacles.

Ce système de plusieurs strates à sauver n'est pas sans rappeler évidemment Super Mario Odyssey qui doit secourir différents mondes dans sa poursuite de Bowser. On pousse la similitude encore plus loin avec les transitions entre chaque strate où Pauline monologue avec DK comme le fait exactement Cappy lorsque lui et Mario sont dans le vaisseau en direction d'un nouveau monde.

Chaque endroit est différent et réserve son lot de surprises. Presque tous les habitants ont des choses à nous dire, des défis à nous proposer ou des objets à nous vendre. Et nous avons également le plaisir de recroiser des visages familiers, comme par exemple Crunky Kong, dont les rencontres sont récurrentes, et qui nous montre sa gratitude à chaque fois qu'on l'écoute radoter.
Donkey Kong Bananza - Overview Trailer - Nintendo Switch 2
Les graphismes sont très beaux. Nous avons droit à une véritable profusion des couleurs et le style nous fait penser à un film d'animation. Tout est parfaitement net. Même le design de DK a changé depuis la sortie du film Super Mario Bros en 2023. Son visage est bien plus expressif qu'avant. On ressent absolument toutes ses émotions. Idem pour Pauline. Cela en fait un duo particulièrement attachant.

Les cinématiques sont épiques, les musiques sont entraînantes et varient en fonction des lieux. Bien que ces dernières soient un élément clé du jeu, elles ne sont pour autant pas envahissantes et ne gâchent pas la bonne expérience du joueur.

Dans le jeu, Pauline est la seule à parler réellement. On peut d'ailleurs choisir le doublage que l'on préfère entre le français, l'anglais ou le japonais, ce qui est un petit plus dans l'immersion. Tout au long de l'aventure, elle n'hésite d'ailleurs pas à faire plein de remarques et de commentaires sur chaque petit monde qui les entoure. Mais elle chante aussi. Et cela a une importance que nous détaillerons plus bas.

Arriver jusqu'au cœur de la planète est une aventure particulièrement longue et palpitante car il va falloir en faire du chemin pour réussir à atteindre le centre. On parle ici de plusieurs centaines de strates ! Alors, il convient de relativiser grandement en précisant que DK et Pauline traversent chaque endroit cent par cent avec deux ou trois sous-strates à chaque fois par exemple strate 100, 101 et102 puis strate 200, 201 et 202 etc.
Test de Donkey Kong Bananza : 19/20
Mais comment DK et Pauline vont-il réussir à atteindre le centre de la Planète ? Grâce à la puissance de ses poings et la voix enchanteresse de la jeune adolescente.

Une exploration gigantesque grâce à l'art de la destruction !

C'est le cœur même du jeu. On peut même dire qu'il s'agit d'une nouveauté dans le jeu vidéo. DK ne se contente pas de traverser les strates avec Pauline sur son dos, il peut les transpercer littéralement. Les exploser ! Les détruire !

On nous met tout de suite dans l'ambiance puisque notre héros poilu apparaît à l'écran en fracassant de ses puissants poings, le mur qui le cache. D'office, on comprend le concept même du jeu.

Donkey Kong évolue en cassant presque tout ce qui est à sa portée. Presque ? Oui. Relativisons encore. TOUT ne peut évidemment pas être détruit. Mais c'est amplement suffisant pour être jubilatoire.
Test de Donkey Kong Bananza : 19/20
Au début, on commence facilement, on frappe, on casse la pierre qui nous entoure, on récupère l'or qui s'y cache et on continue encore et encore. Le jeu nous encourage clairement à détruire tout ce qui est possible de l'être au vu de la quantité astronomique de pépites d'or et de trésor qu'on y trouve. On y déniche également des fossiles ainsi que l'objet préféré de DK, des cristaux de banandium.

On peut creuser des tunnels à peu près partout. Alors, on pourrait penser que la caméra ne peut pas nous suivre dans ces dédales fraîchement créés. Et c'est vrai à certains endroits. Mais c'est un inconvénient qui disparaît très vite en bougeant a caméra grâce au joystick droit tout en continuant d'avancer dans nos tunnels improvisés. Fort heureusement, on voit rapidement où l'on va et ce qui se trouve devant nous.

On nous récompense même lorsqu'on détruit suffisamment de surface. DK ne fait pas que casser. Il peut aussi arracher des blocs de leur environnement, surfer dessus plus ou moins longtemps en fonction de leur solidité et les balancer sur d'autres structures pour... les détruire bien sûr ! Mais il peut aussi construire grâce à des masses de terre afin de créer des ponts par exemple.

Notre puissant gorille a également la possibilité de claquer le sol. Cela lui permet de faire venir à lui des tas d'or partiellement enterrés ou qui sont suffisamment proches pour être attirés. Cette technique lui sert également de sonar permettant de trouver les trésors, fossiles et cristaux de banandium cachés à proximité. A partir de cette information, on a envie de frapper sur le sol toutes les dix secondes, à l’instar du jeu Hogwart Legacy avec le sortilège Revelio. Cela peut avoir tendance à gâcher un peu la surprise des découvertes.
Test de Donkey Kong Bananza : 19/20
Entre destruction et exploration de chaque strate, nous pouvons également obtenir des cristaux de banandium en réalisant certains défis mêlant combats chronométrés ou parcours plateformers où stratégie, rapidité et dextérité sont de mise.

Il y a des centaines et des centaines de cristaux de banandium à trouver et à gagner dans le jeu. Cela peut paraître beaucoup trop et à certains moments, on a plutôt envie d'arrêter de les chercher.

Fort heureusement, contrairement aux lunes dans Super Mario Odyssey, ces bananes spéciales ne sont pas obligatoires pour pouvoir voyager d'une strate à une autre. Pas obligatoires, certes, mais fortement recommandées au final afin d'augmenter les compétences de Donkey Kong que nous détaillerons plus bas.

On ne détruit pas que pour le fun. Cela nous permet aussi de résoudre des énigmes pour avancer dans l'histoire. Chaque partie de l'environnement d'une strate a sa particularité. Par exemple, on peut trouver des pierres qui font office de bombe lorsqu'on les lance sur un obstacle ou avec des blocs de glace on peut refroidir des chemins de lave.

Alors, détruire, c'est très chouette et au début, on s'active à tout fracasser sur notre route. Mais, et c'était le risque, cela devient redondant et lassant. D'autant que l'histoire est très longue. Au fil de l'aventure, on finit par détruire beaucoup moins et à faire le strict nécessaire pour nous permettre d'avancer. Après tout, tout raser est une possibilité mais fort heureusement, pas une obligation.

D'autant que l'on finit par baisser le son à un moment donné car entendre crier DK lorsqu'il frappe avec ses poings a tendance à prendre la tête.

En dehors de la destruction, l'exploration en elle-même est immense. Nous l'avons dit, il y a une multitude de mondes à découvrir car nous avons affaire à plusieurs centaines de strates. Sur chacune d'elles, la carte est suffisamment grande pour nous permettre une longue exploration. En plus de pouvoir presque tout détruire, DK peut aussi grimper quasiment toutes les surfaces verticales de haut en bas et de gauche à droite. Les seules choses qui peuvent l'arrêter temporairement sont par exemple des surfaces glissantes, brûlantes ou épineuse. Il est fort au point d'être même capable d'escalader uniquement avec ses pieds tout en portant un objet avec ses deux mains. Rien ne nous arrête, s'en est presque trop simple.

Banannnnnza ! L'extraordinaire pouvoir d'une voix mêlée à la force brute !

Durant leur voyage au centre de la Planète, Donkey Kong et Pauline rencontrent des êtres puissants qui sont Doyens et DJ professionnels. Chacun d'eux leur apprend, grâce à la voix de Pauline, la pouvoir de la Bananza. En effet, dès que la jeune fille chante et qu'il l'accompagne en frappant ses poings contre sa poitrine, DK a la possibilité de se transformer ! Ça peut être un grand gorille, un zèbre ou une autruche. Chaque transformation a sa propre chanson. Et aussi longtemps qu'elle dure, Pauline chante.
Test de Donkey Kong Bananza : 19/20
A partir de là, ce qui pouvait constituer un obstacle ne l'est plus. Car ces nouvelles formes rendent notre héros poilu encore plus puissant. Par exemple, le grand gorille peut détruire des surfaces trop dures pour Donkey Kong, le zèbre courir à grande vitesse sur des plateformes friables sans tomber et l'autruche voler. Enfin. Voler est un grand mot. En réalité DK peut battre des ailes quelques instant sur de courtes distances, avant de retomber très vite au sol.

Ces différentes transformations sont à durée limitées. En effet, elles ne s'activent pas seulement grâce à la voix de Pauline. Nous devons également amasser une certaine quantité d'or afin de remplir la jauge de métamorphose ce qui n'est vraiment pas compliqué puisqu'on en ramasse à la pelle. On pourrait limite passer le jeu entier sous une forme différente d'autant que, grâce aux touches directionnelles, on peut passer d'une apparence à l'autre instantanément temps que la jauge n'est pas vidée. Ce qui nous retient de le faire est la chanson à répétition de Pauline. Certes, elle chante bien et sa voix est magnifique, mais on préfère ne pas l'entendre en permanence non plus.

Ces transformations sont particulièrement chouettes et donnent du peps et une dynamique ahurissante dans le gameplay. Cela nous donne encore plus de possibilités dans notre aventure et améliore grandement notre immersion dans le jeu. Cependant, autant certaines sont très classes comme par exemple le grand gorille, autant d'autres sont plutôt loufoques à la limite du ridicule comme par exemple l'autruche. Mais au moins, ces instants nous font bien rire.
Test de Donkey Kong Bananza : 19/20
A partir de là, nous avons plein de possibilités pour résoudre certaines énigmes ou battre des ennemis dans notre quête. Car oui, outre détruire ou explorer, notre épopée n'est pas de tout repos. Des créatures créées ou contrôlées par la Void Company se mettent régulièrement sur notre route pour tenter de nous arrêter notamment les boss que l'on trouve à la fin de chaque strate.

Les ennemis sont partout mais on peut aisément les éviter et passer sans combattre. Cependant, c'est plus drôle de tous les affronter avec un gameplay aussi fun. Certains de ces monstres sont recouverts de métaux plus ou moins solides, qu'il faut briser avant de pouvoir les vaincre. De plus, en ce qui concerne les boss, il convient d'adopter des stratégies différentes en fonction de notre environnement.

Très régulièrement, les transformations sont nécessaires pour y arriver. Mais cela nous offre des combats très intenses et dynamiques sans pour autant être trop difficiles ou punitifs. Il peut nous arriver de mourir. Et quand Donkey Kong meurt, il perd 500 pépites d'or et peut recommencer à l'endroit où il est tombé. Exactement comme dans Super Mario Odyssey. Il convient donc, encore une fois, d'amasser le plus d'or possible afin d'éviter le game over. Et comme nous l'avons dit plus haut, c'est loin d'être une tâche difficile.

Les combats sont possibles en coopération avec un joueur qui contrôle DK ainsi que toutes ses actions et un joueur qui contrôle la voix de Pauline qui s'avère tout aussi destructrice que les points de notre héros poilu. Cette même coopération est également possible entre une Switch 2 et une Switch 1 via le gameshare. Cependant, nous n'avons pas pu tester ces deux méthodes pour savoir ce qu'elles valent. Ce qu'on peut affirmer cependant, c'est que les développeurs ont repris exactement le même concept de coopération que dans Super Mario Odyssey ou un joueur peut contrôler Mario et un autre Cappy le Chapiforme.
Test de Donkey Kong Bananza : 19/20
Il se peut que, malgré tout cela, DK ne soit pas suffisamment puissant pour certaines actions même malgré les transformations. Par exemple, la dureté de l’environnement augmente de strate en strate. Casser et détruire devient alors plus long, plus ardu et donc plus lassant. C’est là que les compétences entrent en jeu et c’est aussi là que les cristaux de banandium que l’on ramasse par centaines trouvent leur utilité. Au bout de cinq trouvés, on gagne un point de compétence que l’on peut répartir dans une des différentes capacités proposées : plus de cœurs de vie, une meilleure force dans les poings, un sonar qui fonctionne sur une plus grande distance etc. Même les transformations ont le droit à leurs améliorations. Et plus on améliore, plus cela nous coûte en points de compétences, plus il faut trouver des cristaux de banandium. Alors certes, toutes les compétences ne sont pas forcément utiles. Tout dépend de la manière dont on aime jouer. Nous n’avons pas eu à utiliser toutes les capacités et encore moins les améliorer au maximum.

Mais dans l’éventualité où nous voudrions absolument trouver tous les cristaux de banandium, il y en a suffisamment pour améliorer au maximum absolument toutes les compétences possibles et ainsi littéralement rouler sur tous les ennemis du jeu.
19/20
Il n'y a presque rien à redire sur ce Donkey Kong Bananza qui, certes, a certaines similitudes avec Super Mario Odyssey et qui suit une trame narrative plutôt proche. Mais cela n’est en rien choquant, ce n’est d’ailleurs pas une mauvaise chose. Après tout, on ne change pas une équipe qui gagne.

Donkey Kong Bananza parvient même clairement à se démarquer de son aîné. Il nous offre une réelle nouveauté dans le jeu vidéo  qui est la possibilité de détruire la quasi-totalité de notre environnement et d'être en plus récompensé pour ça ! 

Qui plus est, cela fait plus de vingt-cinq ans qu'on attendait une nouvelle aventure en 3D de notre gorille national comme l’a été avant lui, le tout aussi célèbre Donkey Kong 64. On l'a enfin et les résultats sont là.
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Le tout dernier PNCAST
PNCAST - Merci la Switch !
19 /20

L'avis de Puissance Nintendo

Donkey Kong Bananza frôle la perfection. Malgré ses très nombreuses qualités, la destruction systématique et l’utilisation permanente du sonar pourrait lasser certains en raison de sa répétitivité. Cependant, on a poncé le jeu en long et en large et on a qu'une envie : recommencer l’histoire depuis le début afin de revivre un scénario très bien développé.

Jouabilité
Facile à prendre en main, les commandes sont simples à retenir. De plus, le jeu est simple et vraiment accessible à tous. Et si certaines énigmes sont un peu plus casse-tête ou certains ennemis légèrement plus difficiles, ils ne nous donnent pas de fil à retordre très longtemps. Tout détruire peut finir par être redondant mais on n’est pas obligé de le faire. Le jeu nous propose plein d'autre choses intéressantes.
Durée de vie
Une bonne trentaine d'heures pour finir l'histoire sans forcément prendre notre temps. La durée est parfaite d'autant que l'intrigue ne nous lâche pas d'une semelle. On peut aisément faire durer largement plus, surtout si on cherche à atteindre le 100%, plus encore si on essaye de détruire tout ce qui peut l'être.
Graphismes
Digne des meilleurs films d'animation, que ce soit en docké ou en mode normal, les graphismes sont parfaits. Les paysages sont variés, nets et très colorés. Les personnages, gentils comme méchants, ne peuvent pas nous laisser indifférents. Chaque émotion se ressent sur tous les visages.
Son
Presque un sans faute pour la musique qui est variée et qui s'adapte parfaitement à chaque situation, de même que les bruits environnementaux. On, apprécie particulièrement les chansons de Pauline. La possibilité de choisir également son doublage est un réel plus. Dommage que les cris incessants de DK lorsqu'il détruit tout, a tendance à nous casser la tête.
Intérêt
A 69,99€ sur le shop, Donkey Kong Bananza est un titre nous offrant une montagne de choses à faire toutes plus chouettes les unes que les autres. Son contenu est colossal en plus d’être qualitatif. Impossible de passer à côté si l'on a acheté la Switch 2, à moins de ne pas être friand de ce style de jeu.

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