Test de Resident Evil 2 (N64)
Tout le monde connaît ce jeu atrocement flippant, paru sur Playstation qui a fait un réel carton. Le maître Capcom (qui a créé Megaman et Sreet Fighter, rien que ça...) est partit de cette excellente idée pour la convertir en sublime jeu, et non pas en daube comme Castlevania 64.
Un des points fort du jeu : le scénario. Il n'a pas changé depuis le passage de RE2 sur Playstation. Nous sommes à Racoon City où c'est installée une usine chimique. Depuis peu, des phénomènes étranges se produisent, le commissariat de police est obligé de recruter du personnel : Leon Kenndy, par exemple. Claire Redfield enquète elle sur la disparition de son frère. Vous pouvez choisir au début du jeu si vous voulez incarner Claire ou Leon, puis, ensuite, d'autres personnages apparus au cours du jeu. Ce jeu est vraiment flippant voire même horrifiant lorsqu'on joue seul, la nuit, dans une grande baraque de campagne !!
On retrouvera, en ce qui concerne le système de jeu, le système des coffres à items qui communiquent entre eux, qui est illogique et vous comprendrez pourquoi en jouant. En plus, ces coffres vont vous obliger à déambuler plusieurs fois dans les mêmes couloirs lugubres pour déposer les objets dans un coffre.
La réalisation de ce soft est excellente, on pourrait même la qualifier de prouesse technique. Mais la question qui se pose c'est que, comment a-t-on pu faire tenir dans une seule cartouche de 512 Mo (je crois...) un jeu qui sur Playstation faisait 2 CD. Et bien merci Factor 5, grâce à qui on a pu compresser tout cela sur une même cartouche. Ce procédé est également utilisé pour Banjo-Tooie de Rare.
L'intro se résume (le mot est très mal choisit, j'en ai fait exprès, c'est ironique) par une sublime intro en cinématique de 2 minutes. D'ailleurs, c'est le premier jeu qui se déroule exclusivement en décors en images de synthèse. Les musiques sont d'une qualité exceptionelle grâce au Dolby Surround (du coup, le son est bien meilleur que sur Play !) et ça nous met tout de suite dans l'ambiance. L'expansion Pack nous donne des personnages en 3D haute-résolution. Donc, à tous ceux qui disait que les images Playstation étaient meilleures que celles sur Nintendo 64, qui n'offrant que des graphismes cubiques, et bien voilà la preuve que non, non et non, leurs propos sont totalement faux !
On retrouvera, en ce qui concerne le système de jeu, le système des coffres à items qui communiquent entre eux, qui est illogique et vous comprendrez pourquoi en jouant. En plus, ces coffres vont vous obliger à déambuler plusieurs fois dans les mêmes couloirs lugubres pour déposer les objets dans un coffre.
La réalisation de ce soft est excellente, on pourrait même la qualifier de prouesse technique. Mais la question qui se pose c'est que, comment a-t-on pu faire tenir dans une seule cartouche de 512 Mo (je crois...) un jeu qui sur Playstation faisait 2 CD. Et bien merci Factor 5, grâce à qui on a pu compresser tout cela sur une même cartouche. Ce procédé est également utilisé pour Banjo-Tooie de Rare.
L'intro se résume (le mot est très mal choisit, j'en ai fait exprès, c'est ironique) par une sublime intro en cinématique de 2 minutes. D'ailleurs, c'est le premier jeu qui se déroule exclusivement en décors en images de synthèse. Les musiques sont d'une qualité exceptionelle grâce au Dolby Surround (du coup, le son est bien meilleur que sur Play !) et ça nous met tout de suite dans l'ambiance. L'expansion Pack nous donne des personnages en 3D haute-résolution. Donc, à tous ceux qui disait que les images Playstation étaient meilleures que celles sur Nintendo 64, qui n'offrant que des graphismes cubiques, et bien voilà la preuve que non, non et non, leurs propos sont totalement faux !
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