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Après les résultats que certains jugeront décevants de titres comme Madworld, il est possible de se demander si la Wii est une console tout simplement apte à accueillir des jeux "matures" susceptibles de se vendre. Lors d'une interview accordée à Computer & Videogames, Bradley Crooks, développeur de House of the Dead : Overkill, donne la recette miracle.
L'homme rappelle avant toute chose que l'équipe de développement a travaillé très dur sur le titre, et a tenté de lui donner une véritable âme, en travaillant particulièrement les personnages, les environnements ou encore l'ambiance. Selon lui, c'est en effet l'ambiance et le soin qui est apporté au titre, qui fait le succès d'un jeu.
Pourtant, la Wii n'étant pas la console de prédilection de ce genre de softs, la clé de la réussite se trouvait surtout dans la campagne marketing qui a suivi le jeu. En effet, selon lui, et après avoir travaillé chez Electronic Arts, il affirme que l'équipe marketing a mis vraiment tout son coeur a l'ouvrage, mettant sur pied une campagne réellement efficace.
C'est bien le minimum qu'il fallait, puisque selon lui, House of the Dead : Overkill serait "un jeu vraiment différent de ce qui se fait sur Wii, même par rapport aux jeux adultes. C'est une sorte de plaisir coupable pour certaines personnes. Ils attendent que les enfants soient au lit, mettent Mario ou Sonic de côté, et sortent Overkill. Un verre de vin et un "gorgasme" sont le moyen parfait de finir la soirée !".
Drôle de façon de donner la clé de réussite d'un jeu, d'autant plus que rien n'est finalement très nouveau dans tout cela, mais il est toujours sympathique d'avoir le point de vue interne des développeurs, les mieux à même de comprendre la raison du succès ou non d'un jeu.
L'homme rappelle avant toute chose que l'équipe de développement a travaillé très dur sur le titre, et a tenté de lui donner une véritable âme, en travaillant particulièrement les personnages, les environnements ou encore l'ambiance. Selon lui, c'est en effet l'ambiance et le soin qui est apporté au titre, qui fait le succès d'un jeu.
Pourtant, la Wii n'étant pas la console de prédilection de ce genre de softs, la clé de la réussite se trouvait surtout dans la campagne marketing qui a suivi le jeu. En effet, selon lui, et après avoir travaillé chez Electronic Arts, il affirme que l'équipe marketing a mis vraiment tout son coeur a l'ouvrage, mettant sur pied une campagne réellement efficace.
C'est bien le minimum qu'il fallait, puisque selon lui, House of the Dead : Overkill serait "un jeu vraiment différent de ce qui se fait sur Wii, même par rapport aux jeux adultes. C'est une sorte de plaisir coupable pour certaines personnes. Ils attendent que les enfants soient au lit, mettent Mario ou Sonic de côté, et sortent Overkill. Un verre de vin et un "gorgasme" sont le moyen parfait de finir la soirée !".
Drôle de façon de donner la clé de réussite d'un jeu, d'autant plus que rien n'est finalement très nouveau dans tout cela, mais il est toujours sympathique d'avoir le point de vue interne des développeurs, les mieux à même de comprendre la raison du succès ou non d'un jeu.
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Sega ne s'est jamais dit decu des ventes d'Overkill, contrairement a Madworld par exemple qui avait fait l'objet d'une gigantesque campagne promotionnelle. La difference entre Overkill et Madworld ? La violence extreme du second, le style tres (trop ?) special.
La personne interviewee a raison de dire qu'il est important de creer un univers dans lequel le joueur puisse apprecier se retrouver : dans Overkill, j'avais bien aime l'humour des personnages, et le fait que le jeu soit accessible a un joueur peu habitue des FPS comme moi !
Le bonheur tient a peu de choses, finalement !
Xavier
Les deux jeux ont eu droit au même positionnement de la part de SEGA : violence graphique extrême, humour décalé, campagne de pub rigolote et orientée adulte, etc.
C'est assez dur de pouvoir dire pourquoi l'un a "marché" (tout est relatif, il a marché tout de même 10 fois moins qu'un Wii Fit Plus, vive la Wii) et l'autre non. La seule différence que je vois effectivement, c'est qu'Overkill a un gameplay plus accessible que Madworld (en termes de difficulté, s'entend). Mais je ne pense pas que ça vienne de là ; c'est le genre de chose que le grand public ne sait pas en achetant le jeu.
Là où je trouve l'interviewé gonflé, c'est quand même qu'il se permet de dire que l'équipe a travaillé très dur blablabla... je sais pas vous, mais pour moi, Headstrong qui se permet de sous-entendre que PlatinumGames a fait un mauvais travail, c'est un peu comme si Davilex apprenait à Bioware comment développer un jeu.