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Des nuages au-dessus d'Ubisoft ?
Suite de la lutte entre la famille Guillemot et Vivendi, les dirigeants actuels d'Ubisoft viennent de passer sous les 20% du droit de vote d'Ubisoft par un mécanisme d'augmentation de capital. Chaque perte par rapport à Vivendi rapproche potentiellement le groupe d'une OPA.
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Il semble que chaque succès d'Ubisoft au niveau ludique soit accompagné d'une nouvelle moins agréable pour la famille Guillemot, qui lutte bec et ongle pour ne pas tomber définitivement sous le contrôle de Vivendi, bien décidé à se lancer dans une OPA très prochainement.
Alors qu'elle avait plus de 20 % des droits de vote, lui assurant une certaine stabilité lors des conseils d'administration et dans sa gouvernance, le groupe indique aujourd'hui qu'il ne dispose plus que de 19,86 %, soit 13,46 % du capital. Cette perte légère serait liée à une "augmentation du nombre total d'actions et de droits de vote de la société" soit donc une conséquence mécanique d'une augmentation de capital liée à une opération d'actionnariat salarial, a expliqué une porte-parole à l'AFP. La famille Guillemot n'a donc pas perdu d'actions.
Un différentiel qui pourrait pousser Vivendi a passer à l'action (Vivendi reste le principal actionnaire d'Ubisoft avec 27% du capital et 24,54% des droits de vote à la date du 31 mars) même si cela entraînera une coûteuse OPA dont on ne sait qui sortira vraiment gagnant. La nouvelle a été accueillie assez fraichement par les marchés financiers, les deux sociétés ayant été en baisse hier. Ubisoft semble avoir corrigé le tir ce matin actuellement sur le marché et Vivendi a également bien rebondi en cours de journée.
On ne sait pas encore quand vont être lancés les hostilités et on croise les doigts pour que cela ne brise pas les nombreux projets en cours. Ubisoft joue en effet gros avec le retour de sa franchise Assassin's Creed dont les dernières aventures n'avaient pas enchanté le public, en lançant son titre exclusif Mario+Les Lapins Crétins Kingdom Battle et en s'aventurant dans les Jeux Toy-to-life avec son projet Starlink: Battle for Atlas l'année prochaine.
Source : Challenges
Alors qu'elle avait plus de 20 % des droits de vote, lui assurant une certaine stabilité lors des conseils d'administration et dans sa gouvernance, le groupe indique aujourd'hui qu'il ne dispose plus que de 19,86 %, soit 13,46 % du capital. Cette perte légère serait liée à une "augmentation du nombre total d'actions et de droits de vote de la société" soit donc une conséquence mécanique d'une augmentation de capital liée à une opération d'actionnariat salarial, a expliqué une porte-parole à l'AFP. La famille Guillemot n'a donc pas perdu d'actions.
Un différentiel qui pourrait pousser Vivendi a passer à l'action (Vivendi reste le principal actionnaire d'Ubisoft avec 27% du capital et 24,54% des droits de vote à la date du 31 mars) même si cela entraînera une coûteuse OPA dont on ne sait qui sortira vraiment gagnant. La nouvelle a été accueillie assez fraichement par les marchés financiers, les deux sociétés ayant été en baisse hier. Ubisoft semble avoir corrigé le tir ce matin actuellement sur le marché et Vivendi a également bien rebondi en cours de journée.
On ne sait pas encore quand vont être lancés les hostilités et on croise les doigts pour que cela ne brise pas les nombreux projets en cours. Ubisoft joue en effet gros avec le retour de sa franchise Assassin's Creed dont les dernières aventures n'avaient pas enchanté le public, en lançant son titre exclusif Mario+Les Lapins Crétins Kingdom Battle et en s'aventurant dans les Jeux Toy-to-life avec son projet Starlink: Battle for Atlas l'année prochaine.
Source : Challenges
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