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Final Fantasy IV Advance Disponible sur GBA depuis le 02/06/2006
Test de Final Fantasy IV Advance (GBA)

FF4 : Les vieux classiques ne meurent jamais !

Test
Après de longues années d’attente, la mode des rééditions permet à de nombreux classiques des années 90 de subir un petit lifting pour revenir sur le devant de la scène. A cette époque, des RPG fantastiques ont fait halluciner de très nombreux joueurs qui devaient payer des sommes incroyables pour les faire venir en Import des Etats-Unis, ou même, pour les plus accros, du Japon. Tel est le cas de Final Fantasy 4. Mais les joueurs de 2006 sont-ils vraiment gagnants avec le retour de ce classique?

Le typique good VS evil

Dans un monde qui hésite entre le Moyen-âge et la Modernité, le tout accompagné d’un peu de magie, l’incertitude règne. Le roi du Royaume de Baron, grâce à sa toute première escadrille volante surnommée les Ailes Rouges, a pris la décision d’entamer une série d’attaques préventives sur des royaumes voisins. Ceci dans le but de leur confisquer des cristaux protecteurs sensés protéger l’équilibre du monde (comme quoi, certains n’ont vraiment rien inventé si on suit l’actualité). C’est là que votre personnage intervient. Vous incarnez Cecil, un chevalier noir commandeur des Ailes Rouges.

Cependant, au fil des missions accomplies pour le roi de Baron sur des villes voisines qui ne comprennent pas cette agressivité, Cecil se pose des questions sur le but de ces missions et va en référer au roi. Pour son insolence, Cecil tombe en disgrâce et doit, pour se racheter, amener un mystérieux paquet dans un village qui ne reconnaît pas l’autorité de Baron. Et c’est là que votre aventure commence.

Des graphismes has been ?

Le premier point qui risque de rebuter les nouveaux joueurs, ce sont les graphismes. Même si Square Enix a pris la décision de les dépoussiérer un peu, ils restent très loin de ce qui se fait actuellement sur console portable (mais bon, le jeu a plus de 10 ans tout de même). Même lors de sa sortie aux Etats-Unis (il n’est jamais sorti sur Super Nintendo en Europe), certains joueurs avaient été surpris de voir des graphismes relativement simples par rapport à des jeux comme Secret of Mana, qui lui étaient très supérieurs. Mais c’est en commençant à jouer que l’on comprend toute la richesse caché de Final Fantasy 4. Ce qui frappe en premier, ce sont les musiques. Riches, personnalisées et collants à l’action, elles ne laissent jamais indifférent. Les joueurs japonais les apprécient tellement qu’une édition BO sort toujours avec le jeu et que des concerts sont donnés plusieurs fois par année. Il faut aussi tenir compte du scénario qui laisse à chaque personnage assez de marge pour expliquer ses motivations et son passé. Et il y a des rebondissements et des surprises qui prennent le joueur toujours à contre-pied.

Se spécialiser pour gagner

Pour les puristes Final Fantasy 4 respecte la forme traditionnelle du RPG et propose des personnages avec des spécialisations variées et parfois inattendues. En plus des traditionnels guerriers et magiciens, on découvre des classes comme le chevalier Dragon, le ninja, le moine ou la convocatrice. Le chevalier Dragon (une influence de Saint Seiya ?) a la capacité de sauter pour plonger en piqué sur ses adversaires. Mais il disparaît à l’écran et n’est pas contrôlable pour réussir cette attaque. Le ninja offre un compromis entre le guerrier et le magicien. Le moine combat à mains nues et la convocatrice peut appeler des monstres tout en pratiquant un peu la magie.

Là où l’histoire se complique, c’est que vous ne pouvez pas choisir la composition de votre équipe combattante (5 persos). Tout dépend de l’histoire et des personnes que vous allez rencontrer. Il est donc important de bien connaître les forces et faiblesses de chaque classe. Il faut aussi savoir qu’il est inutile de privilégier une classe plutôt qu’une autre en se la jouant super bourrin. Si cette option marche pour certains monstres, elle devient inapplicable pour les bosses qui ont leurs propres tactiques et qui peuvent poser leurs règles pour le combat (par exemple utilisation exclusive de la magie ou pas d’armes en métal, imaginez la situation avec une équipe conçue uniquement façon guerriers). Il est donc très important d’avoir des persos bien équilibrés en expérience et en équipement.

Quoi de neuf ?

Après toutes ces explications, les joueurs peuvent se demander ce qui a vraiment changé avec Final Fantasy 4 par rapport à la version d’origine. Et bien quelques petites choses, mais pas trop.

Contrairement à l’ancienne version SNES américaine, il est désormais possible de faire des sauvegardes rapides et plus seulement des sauvegardes normales quand le jeu le permet. Une fonction qui peut être utile ou non suivant la manière de jouer. De plus, la difficulté est paramétrable selon que la fonction Active Battle Mode est activée ou pas. En fonction activé, les monstres vous attaquent en combat, même si vous êtes en train de choisir les actions des personnages, ce qui n’est pas le cas si ce mode est désactivé.

Il faut ajouter aussi un nouveau donjon de 50 niveaux, pratique pour s’entraîner, et une petite intro utilisant les images du jeu qui a remplacé celle en images de synthèse qui avait été réalisée pour la version PSone.

Mais, le meilleur est que tous les secrets, cachettes, armes cachées et autres surprises sont toujours là. Il faut aussi ajouter la très grande liberté pour se promener un peu partout dans le monde, sauf si l’endroit ne colle pas au scénario. Il y a aussi les différents alliés qu’il est possible de rencontrer. Ceux-ci peuvent accepter de vous rejoindre sous la forme de créatures invoquées, mais il faudra parfois les battre dans des combats pas toujours évidents (comme pour Odin ou Bahamut par exemple, tous deux des classiques de la saga Final Fantasy).
17/20
Mais même avec toutes ces modifications, le jeu en vaut-il la chandelle pour les jeunes joueurs qui n’ont connu la série que par ses versions Palystation ? Sans hésitation, la réponse est oui. Car, en dépit des années, le plaisir de jeu reste intact et une partie ne ressemble jamais à une autre. Il y a toujours une zone à explorer, un monstre à vaincre ou une arme légendaire à trouver pour que ce jeu reste un immense classique qu’il est difficile de poser. Mais pour cela, il faudra éviter de s’arrêter sur son apparence.
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Je pense que le nom final sufi à d'écrire le jeu, il est super et assez long surtout si vous voulez le finir a 100%

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