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Secteur : Quelques mauvaises nouvelles
Les journées ne sont pas toujours roses dans l'univers du jeu vidéo.
NewsC'est avec certaine tristesse et mélancolie qu'à travers cette news, nous allons vous faire part de quelques mauvaises nouvelles de l'univers du jeu vidéo.
Ubisoft est une entreprise française spécialisée dans le développement et la distribution de jeux vidéo. Fort de son succès, Ubisoft a ouvert 26 studios dans 18 pays du monde mais malheureusement pour l'un d'eux, Ubisoft Vancouver, ses portes viennent tout juste de se fermer. La raison de la fermeture est due au manque de succès des jeux du développeur qui était, rappelons-le, spécialisé dans les jeux de sports avec par exemple le jeu Motionsports Adrenaline. Néanmoins, tout n'est pas perdu puisque les employés d'Ubisoft Vancouver ont tous retrouvé un emploi dans les autres studios de l'éditeur.
«Le malheur des uns fait le bonheur des autres», c'est le cas de Konami qui va conclure l'acquisition de l'entreprise Hudson Soft le 1er mars prochain. 
Hudson et son abeille connus pour des classiques du jeu vidéo comme Bomberman, ou encore pour leur console la PC Engine vont donc être définitivement absorbés par leur majoritaire actionnaire Konami.
Konami va-t-elle continuer à sortir des titres d'Hudson ? Pour le moment, nous n'avons pas plus d'informations sur le sujet mais Bomberman a certainement encore de beaux jours devant lui.
Enfin, jamais deux sans trois, la dernière mauvaise nouvelle concerne le plus âgé des magazines japonais de jeux vidéo : Gemaga. En effet, Chiaki Kyan qui a participé au magazine a révélé dans son blog que le magazine allait disparaître dans quelques semaines. Même si le nom de « Gemaga » est relativement récent, le magazine existait depuis bien longtemps sous différents noms (Dorimaga, Sega Saturn Magazine et Beep).
Il peut paraître étrange qu'un magazine soit appelé à disparaître au Japon, le pays où plus d'un magazine paraît non pas chaque mois mais chaque semaine, comme Famitsu. On pourra peut-être expliquer les difficultés de Gemaga par le coût de ce dernier, environ 1000 Yen, en raison des posters dépliants et d'autres articles bonus, contrairement à Famitsu qui, lui, coûte environ 350 à 450 Yen.
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