Test de Tomb Raider Underworld (NDS)
Si Lara s’était illustrée pour la dernière fois sur DS dans Tomb Raider Legend il y a deux ans, cet épisode portable était tout juste moyen. L’épisode Anniversary zappé, nous pouvions douter de ce nouvel opus qui conclu cette trilogie. Alors ? Verdict positif ou négatif ? Réponse à la fin de ce test…
Lara est donc de retour sur DS dans cette aventure qui fait suite aux épisodes Legend et Anniversary. Parcourant les 4 coins du monde à la recherche d’Avalon, du marteau de Thor mais surtout des secrets de ses parents, notre héroïne retrouvera des visages connus, aperçus dans les épisodes précédents comme Zip son « homme à tout faire » ou encore la « charmante » Jacqueline Nalta qui nous donnait du fil à retordre il y a déjà plus de 10 ans... Ainsi, comme dans la version Wii, c’est le manoir des Croft, une foret de Thaïlande, un temple mexicain, les fond marins de la méditerranée ou encore l’Antarctique que nous visiterons au cours de cette aventure riche en couleurs et en action.
Notre héroïne commencera donc dans un mini tutorial à l’intérieur du manoir Croft en flammes et où l’on apprendra les bases des déplacements et du gameplay qui, disons-le clairement, est plutôt bien foutu pour la petite portable de Nintendo. En effet, là où l’épisode Legend était trop peu précis, Lara est ici très maniable et c’est un réel plaisir d’enchainer les sauts périlleux après les roulades pour finir en utilisant le grappin plutôt que de s’écraser au fond d’un précipice. Notez que contrairement aux autres versions, cet opus DS est plus dans la lignée d’un vieux Prince of Persia avec de nombreuses phases de plates formes sur un plan en 2D avec des personnages en 3D. Rassurez-vous, Eidos a fait le bon choix en choisissant ce type de maniabilité plutôt qu’un jeu en full 3D qui aurait piqué les yeux et aurait été injouable comme il en existe déjà trop sur DS.
Mais si le gameplay est efficace, il faut bien avouer que c’est l’animation du jeu et les graphismes qui impressionnent le plus quand on se lance dans l’aventure. Chaque mouvement de la belle est très bien détaillé pour la console et il n’est pas rare de gaspiller du temps à effectuer des mouvements inutiles (remonter d’un rebord de falaise en se relevant jambes tendues par exemple) pour admirer la richesse de l’animation. Pareil pour les graphismes tout en 3D qui nous flattent l’œil par rapport aux capacités de la DS. Que ce soient les décors où les personnages, le jeu est donc une réussite à ce niveau et l’on peut applaudir Eidos des deux mains pour ce résultat très agréable.
Quant à la musique et aux environnements sonores du jeu, ceux-ci sont agréables à écouter mais branchez un casque pour en profiter car la piètre qualité des hauts parleurs de la DS les massacrent. Enfin pour clôturer cette affluence de bons points, notez qu’Eidos a pensé aux joueurs nomades qui veulent pouvoir effectuer de petites sessions de jeu en proposant une multitude de niveaux assez courts allant de moins d’une minute pour certains, à une dizaine pour les plus longs.
Si cela est bien pratique la plupart du temps quand on n’a pas l’envie de se lancer dans des longs niveaux comme sur une console de salon, il faut bien avouer que les temps de chargement entre les étapes sont malheureusement extrêmement longs (même si justifiés quand on voit la qualité graphique du titre) et ont tendance à agacer le joueur pressé. Autre point un peu moins glorieux, on pourra noter les mini-jeux jouables au stylet qui ne proposent aucun intérêt tant ils sont faciles. Pareil pour les soit disant « énigmes » qui parsèment l’aventure mais qui sont d’une difficulté inexistante. De plus, si les phases de plates formes sont assez agréables, il n’en est pas forcément de même avec les phases de combat assez simples et presque inutiles qui se font toutes de la même façon : Tirer, esquiver, tirer… Bof, bof.
Notez enfin que du point de vue de la durée de vie, vous pouvez finir le jeu en à peine 5/6 petites heures tout en ayant récupéré l’ensemble des artéfacts secrets débloquant les quelques artworks, croquis et fiches de personnages qui vous occuperont à peine le temps de les voir.
Notre héroïne commencera donc dans un mini tutorial à l’intérieur du manoir Croft en flammes et où l’on apprendra les bases des déplacements et du gameplay qui, disons-le clairement, est plutôt bien foutu pour la petite portable de Nintendo. En effet, là où l’épisode Legend était trop peu précis, Lara est ici très maniable et c’est un réel plaisir d’enchainer les sauts périlleux après les roulades pour finir en utilisant le grappin plutôt que de s’écraser au fond d’un précipice. Notez que contrairement aux autres versions, cet opus DS est plus dans la lignée d’un vieux Prince of Persia avec de nombreuses phases de plates formes sur un plan en 2D avec des personnages en 3D. Rassurez-vous, Eidos a fait le bon choix en choisissant ce type de maniabilité plutôt qu’un jeu en full 3D qui aurait piqué les yeux et aurait été injouable comme il en existe déjà trop sur DS.
Mais si le gameplay est efficace, il faut bien avouer que c’est l’animation du jeu et les graphismes qui impressionnent le plus quand on se lance dans l’aventure. Chaque mouvement de la belle est très bien détaillé pour la console et il n’est pas rare de gaspiller du temps à effectuer des mouvements inutiles (remonter d’un rebord de falaise en se relevant jambes tendues par exemple) pour admirer la richesse de l’animation. Pareil pour les graphismes tout en 3D qui nous flattent l’œil par rapport aux capacités de la DS. Que ce soient les décors où les personnages, le jeu est donc une réussite à ce niveau et l’on peut applaudir Eidos des deux mains pour ce résultat très agréable.
Quant à la musique et aux environnements sonores du jeu, ceux-ci sont agréables à écouter mais branchez un casque pour en profiter car la piètre qualité des hauts parleurs de la DS les massacrent. Enfin pour clôturer cette affluence de bons points, notez qu’Eidos a pensé aux joueurs nomades qui veulent pouvoir effectuer de petites sessions de jeu en proposant une multitude de niveaux assez courts allant de moins d’une minute pour certains, à une dizaine pour les plus longs.
Si cela est bien pratique la plupart du temps quand on n’a pas l’envie de se lancer dans des longs niveaux comme sur une console de salon, il faut bien avouer que les temps de chargement entre les étapes sont malheureusement extrêmement longs (même si justifiés quand on voit la qualité graphique du titre) et ont tendance à agacer le joueur pressé. Autre point un peu moins glorieux, on pourra noter les mini-jeux jouables au stylet qui ne proposent aucun intérêt tant ils sont faciles. Pareil pour les soit disant « énigmes » qui parsèment l’aventure mais qui sont d’une difficulté inexistante. De plus, si les phases de plates formes sont assez agréables, il n’en est pas forcément de même avec les phases de combat assez simples et presque inutiles qui se font toutes de la même façon : Tirer, esquiver, tirer… Bof, bof.
Notez enfin que du point de vue de la durée de vie, vous pouvez finir le jeu en à peine 5/6 petites heures tout en ayant récupéré l’ensemble des artéfacts secrets débloquant les quelques artworks, croquis et fiches de personnages qui vous occuperont à peine le temps de les voir.
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