Non c'était, j'imagine, car justement les gens ne travaillent pas bénévolement... ^^
De toutes façons il faut bien se dire que :
1/ il faut payer tous les employés
2/ il faut des fonds pour permettre le développement des prochaines machines et des prochains jeux
Quant aux vingt euros demandés pour un jeu GBA, c'était moins cher que les tarifs habituels, donc on a quand même la notion des valeurs chez Nintendo. Et comme d'habitude, il sera toujours temps de crier au scandale lorsqu'on saura réellement quels seront les tarifs appliqués sur Revolution (ou que quelqu'un me dise où ils sont inscrits, parce que personnellement je ne les ai pas vus dans l'article, et j'ai par conséquent bien du mal à me réjouir ou à m'indigner à leur propos).
Ah au fait, Darkdamien : il y a vingt ans, ou même dans cent ans, même dans mille ans, même lorsque la Terre ne sera plus, il y a eu et il y aura toujours du travail derrière ces jeux... ce n'est pas parce que le temps passe qu'il n'y en a plus, et je ne vois pas en quoi il serait plus légitime de faire payer ses oeuvres à leur sortie que dix ans plus tard ^^
Quant au support physique du bouquin, et du support virtuel pour le fichier de 200ko à télécharger (oui je relis tous les vieux posts du topic :p), je ne suis pas sûr que le plus cher soit celui qu'on pense... tout une gestion du online, sans parler des moyens techniques mis en oeuvre doivent coûter bonbon. Alors que le papier, pour une maison d'édition...
Fin bref, quand je verrai les jeux NES à dix euros je gueulerai avec vous, mais pour l'instant je dis que "tout travail mérite salaire", et que ce n'est pas à nous de décider où et quand ce versement de salaire doit prendre fin (Je m'imagine par exemple écrire un bouquin un jour, être payé pendant quinze ans, pour ensuite me voir dire : "bon tu as fait ton temps, tu ne touches plus rien sur les ventes et sur les droits d'auteur"
). Cela dit quand je vois un [i:2k4wy7rg]Super Gouls'n Ghosts[/i:2k4wy7rg] en loose à douze euro, j'ai hâte que le système soit mis en place pour comparer les prix.