Test de The Incredible Hulk : Ultimate Destruction (NGC)
'Oh oh oh... Géant Vert !'
Le géant vert revient sur consoles et il n'est très pas content. A l'inverse, ce sont ses fans qui seront ravis. Mais également les gamers. Car ils auront là de quoi se défouler, sur des défis de taille ! Vu de l'intérieur, Hulk 2 n'apporte rien de neuf. Mais de l'extérieur, l'appel de la destruction ultime est aussi difficile à résister que le chant de l'Ocarina ou des sirènes...
Hulk Ultimate destruction est bon. Voilà, c'est dit. Cette phrase pourra en choquer quelques-uns mais c'est pourtant vrai. Pas excellent, mais dans le genre 'action frénétique et super héros', il s'agit sans doute du meilleur jeu du genre jamais conçu depuis l'ère des 16 bits ! Rien que ça. Au revoir les Batman sans saveur et les Spiderman en petites formes et faux costumes. Ici, c'est du solide ! En d'autres termes, Hulk 2 explose Spiderman 2, désolé pour les fans. Mieux, il le ridiculise car à vrai dire, quand on compare les deux monstres de la BD dans leurs jeux respectifs, Hulk semble mille fois plus fort, plus rapide, que l'homme araignée.
Mais nous ne sommes pas dans une cours d'écolier pour se demander qui est le plus balèze ou le plus intelligent... Ce qui compte, c'est le gameplay, le fun. Et bien dans ce registre Hulk 2 l'emporte haut la main et devient par là même LE jeu de la rentrée 2005 sur Game Cube, comme le stipule le Nintendo magazine. Certes, en même temps c'est aussi le seul. Mais il en vaut la chandelle, et vous allez comprendre pourquoi.
La quête s'étalera sur une immense ville ouverte, sans temps de chargement, à la façon d'un GTA ou plus précisément d'un Spiderman 2. Mais en mieux que ce dernier : on se déplace plus vite, les raccourcis sont bien étudiés, la surface des quartiers calculée. La réalisation générale ainsi que interactivité sont bien plus abouties. C'est même presque du haut de game dans le genre, mais sans toutefois faire d'étincelles. Les couleurs sont parfois un peu criardes mais c'est le genre qui veut ça. L'animation reste fluide et le jeu est loin d'être vide. D'autant plus que le héros dispose d'une foultitude d'éléments interactifs.
Interactivité, maître mot de ce second opus. Le lieu est ouvert, et tout est cassable. Voilà, tout est dit ! Que peut-on rajouter ? Que le monstre vert peut utiliser des voitures comme boucliers ou gants de boxe, des lampadaires comme raquettes de tennis, des hélicos comme clubs de golf... Mieux que de la dérision, de l'utilitaire ! Alors il faudra bien faire travailler son imagination pour venir à bout des 30 missions qui composent le jeu. Divisées en 8 chapitres, elles vous en feront voir de toutes les couleurs, surtout du vert. Prévoyez tout de même quelques aspirines pour quelques unes... Ou encore, vous savez, le genre de vieux goodies de fond d'armoire qu'on jette violemment sur le mur, pour décharger ses nerfs.
Car entre le sauvetage des passants, la collecte d'éléments nucléaires, la protection d'un immeuble, les rixes aériennes, les combats titanesques contre les boss et toutes les milles et une folies de l'univers de la BD, vous en aurez pour votre argent ! Néanmoins, ne perdez pas de vue une chose : l'action, quand elle est présente, casse tout. Briiice serait content. Ca déménage sec, et violemment ! L'adrénaline du joueur fera des pics, les palpitations cardiaques monteront en flèche régulièrement. L'immersion est totale, car dans le feu de l'action on a pas le temps de se poser des questions. On incarne Hulk, on doit survivre et frapper fort dans un laps de temps limité.
En plus des missions principales égrainées sur la grande map servant d'aire de jeu générale, vous disposerez de missions bonus anecdotiques, comme sauver des citoyens coincés par des flammes, jouer au foot avec une vieille caisse... Des distractions qui passent du moyen au minable. M'enfin quand on revient à vitesse grand V sur les missions principales, on n'en ressent que d'avantage de plaisir à jouer et... tout péter, vous commencez à suivre.
La puissance de Hulk est, pour la première fois, restituée à l'écran d'une façon suprenante, à la démesure de la BD. Plus de doute passée les premières heures, Hulk est vraiment un 'ch'tit' bon jeu. Qui a le mérite de rendre honneur à la série qu'il représente. Bon travail, donc, des développeurs sans doute passionnés par leur bébé, qui a dû leur procurer bien du fun avant de passer en gold. Quand la finalité d'un jeu est d'amuser, tout simplement, sans chercher midi à quatorze heures, et bien le résultat est souvent garanti, preuve en est.
Hulk 2 rempile avec violence et n'oublie rien sur son cahier des charges. Alors, devant un tel spectacle, on serait en droit de se dire que c'est un excellent titre à acheter d'urgence. Et bien non, ce n'est pas un Killer-app, ça tout le monde s'en doutait. Mais -je le dis et je le pense- Hulk 2 est toutefois un Hit, un vrai. Un pur et dur. Agréable à l'oeil et bien réalisé dans son ensemble, possédant une bonne animation, une bonne durée de vie et un son qui n'est pas en reste bien que trop pompeux et hollywoodien -mais c'est subjectif-.
Hulk 2 est Là bonne surprise de la rentrée, que l'on attendait pas forcément. Un titre qui vaut le détour, sauf si l'on est vraiment allergique au genre. Mais les fans d'action ou de superhéros doivent se pencher sur la question, verte, à deux fois, avant d'ignorer ce que l'on peut considérer comme le meilleur jeu de super héros jamais sorti depuis Batman sur Nes, de Sunsoft ! Rien que ça ! Avec un petit soupçon de Viewtiful Joe et de God of War.
Mais nous ne sommes pas dans une cours d'écolier pour se demander qui est le plus balèze ou le plus intelligent... Ce qui compte, c'est le gameplay, le fun. Et bien dans ce registre Hulk 2 l'emporte haut la main et devient par là même LE jeu de la rentrée 2005 sur Game Cube, comme le stipule le Nintendo magazine. Certes, en même temps c'est aussi le seul. Mais il en vaut la chandelle, et vous allez comprendre pourquoi.
Mettez-vous au vert
Cette fois-ci, Bruce Barner veut en finir avec Hulk. Pour se défaire de son pendant horrifique, il devra mener une quête aux USA qui le conduira à réunir différentes pièces informatiques et chimiques, pour tenter de construire un appareil qui assurera sa guérison. La mission générale sera longue et difficile. Niveau difficulté, nous avons le droit à un sérieux adversaire à Viewtiful Joe ! Rassurez-vous, le monstre n'a pas de collants roses rigides et il est si puissant qu'il parviendra à bout de tous ses adversaires, à la longue. Cependant, un peu de patience est requis... et d'humilité aussi, car ce n'est pas parce qu'on est le plus fort qu'il faut s'endormir sur ses lauriers !La quête s'étalera sur une immense ville ouverte, sans temps de chargement, à la façon d'un GTA ou plus précisément d'un Spiderman 2. Mais en mieux que ce dernier : on se déplace plus vite, les raccourcis sont bien étudiés, la surface des quartiers calculée. La réalisation générale ainsi que interactivité sont bien plus abouties. C'est même presque du haut de game dans le genre, mais sans toutefois faire d'étincelles. Les couleurs sont parfois un peu criardes mais c'est le genre qui veut ça. L'animation reste fluide et le jeu est loin d'être vide. D'autant plus que le héros dispose d'une foultitude d'éléments interactifs.
Interactivité, maître mot de ce second opus. Le lieu est ouvert, et tout est cassable. Voilà, tout est dit ! Que peut-on rajouter ? Que le monstre vert peut utiliser des voitures comme boucliers ou gants de boxe, des lampadaires comme raquettes de tennis, des hélicos comme clubs de golf... Mieux que de la dérision, de l'utilitaire ! Alors il faudra bien faire travailler son imagination pour venir à bout des 30 missions qui composent le jeu. Divisées en 8 chapitres, elles vous en feront voir de toutes les couleurs, surtout du vert. Prévoyez tout de même quelques aspirines pour quelques unes... Ou encore, vous savez, le genre de vieux goodies de fond d'armoire qu'on jette violemment sur le mur, pour décharger ses nerfs.
Car entre le sauvetage des passants, la collecte d'éléments nucléaires, la protection d'un immeuble, les rixes aériennes, les combats titanesques contre les boss et toutes les milles et une folies de l'univers de la BD, vous en aurez pour votre argent ! Néanmoins, ne perdez pas de vue une chose : l'action, quand elle est présente, casse tout. Briiice serait content. Ca déménage sec, et violemment ! L'adrénaline du joueur fera des pics, les palpitations cardiaques monteront en flèche régulièrement. L'immersion est totale, car dans le feu de l'action on a pas le temps de se poser des questions. On incarne Hulk, on doit survivre et frapper fort dans un laps de temps limité.
Un petit vert pour la route ?
Ainsi, même bourrin et malgré les apparences, le jeu recèle quelques subtilités de gameplay qui l'empêchent de dériver vers le chaos total, contrairement au premier opus. Tant mieux. Car il faut s'organiser, se battre parfois stratégiquement et passer autant de temps à démolir qu'esquiver ! Hulk est tout-puissant mais c'est par son astuce et son intelligence qu'il parviendra à terrasser ses plus terribles adversaires. Bon point.En plus des missions principales égrainées sur la grande map servant d'aire de jeu générale, vous disposerez de missions bonus anecdotiques, comme sauver des citoyens coincés par des flammes, jouer au foot avec une vieille caisse... Des distractions qui passent du moyen au minable. M'enfin quand on revient à vitesse grand V sur les missions principales, on n'en ressent que d'avantage de plaisir à jouer et... tout péter, vous commencez à suivre.
La puissance de Hulk est, pour la première fois, restituée à l'écran d'une façon suprenante, à la démesure de la BD. Plus de doute passée les premières heures, Hulk est vraiment un 'ch'tit' bon jeu. Qui a le mérite de rendre honneur à la série qu'il représente. Bon travail, donc, des développeurs sans doute passionnés par leur bébé, qui a dû leur procurer bien du fun avant de passer en gold. Quand la finalité d'un jeu est d'amuser, tout simplement, sans chercher midi à quatorze heures, et bien le résultat est souvent garanti, preuve en est.
Hulk 2 rempile avec violence et n'oublie rien sur son cahier des charges. Alors, devant un tel spectacle, on serait en droit de se dire que c'est un excellent titre à acheter d'urgence. Et bien non, ce n'est pas un Killer-app, ça tout le monde s'en doutait. Mais -je le dis et je le pense- Hulk 2 est toutefois un Hit, un vrai. Un pur et dur. Agréable à l'oeil et bien réalisé dans son ensemble, possédant une bonne animation, une bonne durée de vie et un son qui n'est pas en reste bien que trop pompeux et hollywoodien -mais c'est subjectif-.
Hulk 2 est Là bonne surprise de la rentrée, que l'on attendait pas forcément. Un titre qui vaut le détour, sauf si l'on est vraiment allergique au genre. Mais les fans d'action ou de superhéros doivent se pencher sur la question, verte, à deux fois, avant d'ignorer ce que l'on peut considérer comme le meilleur jeu de super héros jamais sorti depuis Batman sur Nes, de Sunsoft ! Rien que ça ! Avec un petit soupçon de Viewtiful Joe et de God of War.
A mille lieux de la finesse des productions japonaises, Ce Rampage du 21ème siècle rebutera les joueurs sans doute à cause de trois défauts : le charisme du personnage qui n'accrochera pas tout le monde, l'action à saturation et le côté un peu trop poli et hollywodien du produit. Passé ces considérations, Hulk Ultimate Destruction, à 39 euros neuf, demeure néamoins un Hit. Il culmine en tête de la catégorie des jeux d'action à la troisième personne, qui ne sont certes pas très originaux mais qui ne volent pas leur client. Dommage que le jeu ne sorte que maintenant et qu'il ne 'parlera' pas trop à la nouvelle génération des joueurs, habitués aux softs plus conventionnels. Pourtant, c'est du solide, Hulk.
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