Mini-test de Dragon Ball Z Budokai 2 (NGC)
Eh oui ! Dragon Ball Budokai 2 arrive un an après la version Playstation 2. Cette arrivée saura-t-elle combler le vide au niveau des jeux de combat ? Songoku et ses amis pourront-ils contrer le grand Naruto, la réponse dans le test !!!
Test rédigé par Hautier
La deuxième grande innovation est la possibilité de fouiller les points sur la carte, on peut donc trouver des Zénies (ce nom est la monnaie du monde de DBZ), cette monnaie vous permettra d’acheter des capsules dans la boutique de Bulma.
Ces capsules contiennent soit des techniques «comme le fameux genkidama», des attaques physiques, mais aussi des objets de soutien «comme les senzus, des beignets servent à augmenter le nombre de déplacements, des combinaisons ou armures qui augmentent votre défense ainsi que des épées pour augmenter votre attaque». L’objet de votre quête sera bien entendu de récupérer les sept boules de cristal, la première est visible mais toutes les autres sont enterrées.
La troisième innovation, la barre verte qui se trouve près du personnage sur la carte, compte 5 carrés signifiant le nombre de défaites possibles. Pour la recharger il suffit de se rendre au point gardé par Dendé.
La quatrième et dernière vient de la sélection des joueurs, car avant de commencer, vous devrez choisir un ou deux personnages dans un tableau. Ces partenaires de combat vous accompagneront jusqu’au boss de fin de tableau qui sont les biens-nommés Fieza, Cell et Buu .
Il faut noter la présence de quelques anachronismes comme la présence de Saibaiman et des petits Cell.
Comme dans tous les jeux de baston vous devez blaster la barre de vie de votre adversaire. Il faut savoir que chaque personnage a des aptitudes différentes comme les gros personnages vont frapper plus fort alors que les petits seront beaucoup plus rapides. Pour la réalisation des coups, les manipulations sont identiques à ceux du premier épisode.
A noter que le joueur n’est plus passif pendant les attaques spéciales, car il doit faire des combinaisons de touches pour créer des fusions comme Gotenks, yamhan ou Gotan... Ou de tourner le stick pour augmenter la jauge de puissance des coups comme l’explosion finale de végéta dans sa version maléfique qui est le plus difficile à réaliser car si l’on ne remplit pas la barre on perd le combat.
On peut observer la présence de nouveaux combattant comme Videl, Dabura, Kaïoh Shin, Buu sous toute ces formes, Sangoten, petit Trunck, Antroid n°20 ect.
La bande-son est orientée rock. On peut même entendre de la j-pop lors de l’introduction. A noter que les doublages américains ne sont pas convaincants, car Songoten a une voix à la Marge Simpson, Krilin à la voix d’un homme de quarante ans et Fieza à une voix de FILLE ce qui le rend plus ridicule que terrible.
La jouabilité est correcte. On aurait aimé que les personnages volent seuls et qu’ils soient moins rigides. On aurait aussi apprécié la suppression du temps de latence entre l’ordre donné et le coups réalisé.
La durée de vie est énorme, car il y a de nombreux personnages à découvrir et un nombre de capsules conséquent, il faut noter que des nouvelles capsules on fait leur apparition.
Un mode Dragon World novateur ?
Ce mode apporte certaines améliorations par rapport au premier épisode. La première est l’apparition d’un plateau comme les cartes de donjon et dragon. Le but est de se déplacer en fonction du nombre de mouvement.La deuxième grande innovation est la possibilité de fouiller les points sur la carte, on peut donc trouver des Zénies (ce nom est la monnaie du monde de DBZ), cette monnaie vous permettra d’acheter des capsules dans la boutique de Bulma.
Ces capsules contiennent soit des techniques «comme le fameux genkidama», des attaques physiques, mais aussi des objets de soutien «comme les senzus, des beignets servent à augmenter le nombre de déplacements, des combinaisons ou armures qui augmentent votre défense ainsi que des épées pour augmenter votre attaque». L’objet de votre quête sera bien entendu de récupérer les sept boules de cristal, la première est visible mais toutes les autres sont enterrées.
La troisième innovation, la barre verte qui se trouve près du personnage sur la carte, compte 5 carrés signifiant le nombre de défaites possibles. Pour la recharger il suffit de se rendre au point gardé par Dendé.
La quatrième et dernière vient de la sélection des joueurs, car avant de commencer, vous devrez choisir un ou deux personnages dans un tableau. Ces partenaires de combat vous accompagneront jusqu’au boss de fin de tableau qui sont les biens-nommés Fieza, Cell et Buu .
Il faut noter la présence de quelques anachronismes comme la présence de Saibaiman et des petits Cell.
Les combats
Dans ce deuxième opus, les combats se présentent de la manière suivante. Avant l’affrontement, vous aurez le droit à un dialogue en anglais et avec des images fixes en 2D, après ces dialogues insipides, vous aurez le droit à un bel écran de chargement noir avec Tortue Géniale pivotant sur une carapace. Pour finir, le duel se déroule dans des environnements variés comme la ville, la montagne, la planète Namec et la planète des dieux Kaïoh, soit des environnements très connus dans la série TV.Comme dans tous les jeux de baston vous devez blaster la barre de vie de votre adversaire. Il faut savoir que chaque personnage a des aptitudes différentes comme les gros personnages vont frapper plus fort alors que les petits seront beaucoup plus rapides. Pour la réalisation des coups, les manipulations sont identiques à ceux du premier épisode.
A noter que le joueur n’est plus passif pendant les attaques spéciales, car il doit faire des combinaisons de touches pour créer des fusions comme Gotenks, yamhan ou Gotan... Ou de tourner le stick pour augmenter la jauge de puissance des coups comme l’explosion finale de végéta dans sa version maléfique qui est le plus difficile à réaliser car si l’on ne remplit pas la barre on perd le combat.
On peut observer la présence de nouveaux combattant comme Videl, Dabura, Kaïoh Shin, Buu sous toute ces formes, Sangoten, petit Trunck, Antroid n°20 ect.
Un bon jeu?
Les graphismes du jeu sont plus lice que la version Playstation2. L’habillage cell shading est de toute beauté. A noter que les décors ont des interactions, dans certains cas, comme l’avalanche dans la zone de la tour musclé du ruban rouge (Red Ribbon).La bande-son est orientée rock. On peut même entendre de la j-pop lors de l’introduction. A noter que les doublages américains ne sont pas convaincants, car Songoten a une voix à la Marge Simpson, Krilin à la voix d’un homme de quarante ans et Fieza à une voix de FILLE ce qui le rend plus ridicule que terrible.
La jouabilité est correcte. On aurait aimé que les personnages volent seuls et qu’ils soient moins rigides. On aurait aussi apprécié la suppression du temps de latence entre l’ordre donné et le coups réalisé.
La durée de vie est énorme, car il y a de nombreux personnages à découvrir et un nombre de capsules conséquent, il faut noter que des nouvelles capsules on fait leur apparition.
L’œuvre d’Akira Toryama a une adaptation digne de la série qui plaira aux fans possédant le Cube de Nintendo. A noter la présence de quelques nouveautés comme des nouvelles capsules et un mode aventure original. Le jeu nous offre aussi quels défauts comme les doublages et des phases de dialogue insipides.
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