Impressions de Odema (GBA)
La petite équipe (trois personnes) de Namdoo, nous a gentiment permis d’essayer en exclusivité mondiale leur premier jeu, Odema. Odema est un jeu qui mélange subtilement aventure, action et shoot.
Vous incarnez Odema, une petite sorcière, à l’époque de l’inquisition. Odema se fait voler au début de l’histoire son grimoire, offert par sa mère, par l’ignoble Skroff, le chef de la cité. Il compte utiliser les sorts de ce grimoire à des fins maléfiques, Odema va donc tenter de retrouver et d’affronter Skroff pour l’empêcher de nuire, et récupérer le grimoire.
Odema devra ainsi traverser sept mondes avant de rencontrer Skroff pour l’affronter dans un combat final. Le premier monde, la forêt est celui que nous avons pu tester. Les six autres mondes sont un village, un château, des douves, une forêt maléfique, une montagne enneigé et le château de Skroff. Une variété importante donc, d’autant que la montagne enneigée devrait proposée une phase de snowboard.
La version que nous avons pu tester n’était pas très développée puisque les développeurs ont décidé de reprendre le développement du jeu depuis le début. La version de démonstration se contentait donc du début du premier monde, mais nous avons cependant pu nous faire une bonne idée des capacités et des limites du jeu.
Le jeu est en deux dimensions en vue latérale, à l’instar de Mario Advance. Le déplacement du jeu se faisant par un scrolling horizontal. Les graphismes sont plutôt réussis, assez détaillés, les animations aussi, mais la taille de l’écran GBA ne permet pas de faire des miracles. Rien d’extraordinaire donc sur ce point.
La prise en main du jeu est un peu compliquée au début, mais le temps d’adaptation aux commandes est relativement faible, la réactivité du personnage étant très bonne. Deux possibilités de tuer vos ennemis vous sont offertes, soit par des tirs d’armes, soit par le lancement de bombes. Au fur et à mesure de l’aventure, votre arme acquerira de nouvelles possibilités, comme les tirs de glace, de feu, de magie, etc.
La fluidité du jeu est très bonne, même lorsque une flopé de d’ennemis vient à votre rencontre dans l’espoir de vous tuer, en vous lançant toutes sortes de projectiles.
D’un point de vue général, le court passage du jeu que nous avons pu évaluer nous a semblé être de bonne augure pour la suite du développement. Reste à savoir si la durée de vie du soft sera à la hauteur de sa réalisation, et si le jeu ne souffrira pas d’une importante concurrence dans ce genre.
Odema devra ainsi traverser sept mondes avant de rencontrer Skroff pour l’affronter dans un combat final. Le premier monde, la forêt est celui que nous avons pu tester. Les six autres mondes sont un village, un château, des douves, une forêt maléfique, une montagne enneigé et le château de Skroff. Une variété importante donc, d’autant que la montagne enneigée devrait proposée une phase de snowboard.
La version que nous avons pu tester n’était pas très développée puisque les développeurs ont décidé de reprendre le développement du jeu depuis le début. La version de démonstration se contentait donc du début du premier monde, mais nous avons cependant pu nous faire une bonne idée des capacités et des limites du jeu.
Le jeu est en deux dimensions en vue latérale, à l’instar de Mario Advance. Le déplacement du jeu se faisant par un scrolling horizontal. Les graphismes sont plutôt réussis, assez détaillés, les animations aussi, mais la taille de l’écran GBA ne permet pas de faire des miracles. Rien d’extraordinaire donc sur ce point.
La prise en main du jeu est un peu compliquée au début, mais le temps d’adaptation aux commandes est relativement faible, la réactivité du personnage étant très bonne. Deux possibilités de tuer vos ennemis vous sont offertes, soit par des tirs d’armes, soit par le lancement de bombes. Au fur et à mesure de l’aventure, votre arme acquerira de nouvelles possibilités, comme les tirs de glace, de feu, de magie, etc.
La fluidité du jeu est très bonne, même lorsque une flopé de d’ennemis vient à votre rencontre dans l’espoir de vous tuer, en vous lançant toutes sortes de projectiles.
D’un point de vue général, le court passage du jeu que nous avons pu évaluer nous a semblé être de bonne augure pour la suite du développement. Reste à savoir si la durée de vie du soft sera à la hauteur de sa réalisation, et si le jeu ne souffrira pas d’une importante concurrence dans ce genre.
Actuellement les développeurs de Namdoo n’ont pas encore signé avec un éditeur. En effet ces derniers se réfugient généralement derrière des licences connues pour lesquelles les risques financier sont moins importants. L’un d’eux osera t’il prendre le risque d’éditer le jeu
?
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