News Nintendo Classic Mini NES (Mini NES)
Piratage : la Nintendo NES Mini a été hackée
On en parle rarement, mais la scène underground est toujours très active pour exploiter les failles possibles d'un matériel. La NES Mini vient donc d'être hackée et a permis de lancer Ubuntu, un système d’exploitation open source basé sur la distribution Linux Debian.
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Rien ne résiste aux hackers, et concernant la Nintendo NES Mini, cela a même été très rapide. Après avoir étudié ce qu'elle avait dans le ventre, les hackers ont voulu faire sauter un verrou qui les horripilait : l'impossibilité de rajouter d'autres jeux NES sur cette superbe console alors que le rendu sur télévision était de très bonne qualité.
Après une bidouille qu'il ne faut absolument pas refaire pour des problèmes de légalité et surtout de garantie de votre console – puisque cela nécessite une transformation physique – les hackers ont compris comment lancer le système d'exploitation Ubuntu sur la console et ont ainsi pu installer des émulateurs et les roms des jeux souhaités.
En soudant 3 fils sur la carte mère de la machine, ils ont connecté la console Nintendo NES Mini sur un PC en utilisant un convertisseur USB ainsi qu'un adaptateur FTDI232. Les fichiers remplacent alors le boot par un amorçage universel en U-Boot et le tour semble être joué. Pour comprendre la relative facilité de la manipulation, il faut savoir que la console démarre sur un noyau Linux et peut donc logiquement démarrer sur une autre distribution. Nintendo utilise un SoC ARM ainsi qu'un émulateur libre : elle doit donc diffuser les sources du noyau de la console directement sur son site, des informations très utiles pour les pirates qui ont pu ainsi concevoir la manipulation.
Des travaux similaires sont en cours sur la version japonaise de la console. Maintenant, quel intérêt pour le public ? La grosse majorité s'en moquera totalement, bien content d'avoir réussi à dénicher sa console en rupture, de pouvoir jouer avec une très bonne qualité à 30 titres pour 59 €, prix de base officiel.
Pour les autres souhaitant bidouiller les émulateurs, la plupart n'auront pas acheté la console, préférant jouer sur un des nombreux émulateurs présents dans le commerce, ou auront créé une solution à partir d'un Raspberry Pi – un investissement somme toute modeste. Dommage que Nintendo ait tenu à fermer sa console car le public aurait été intéressé par des jeux supplémentaires en téléchargement.
Source : Logic-sunrise
Après une bidouille qu'il ne faut absolument pas refaire pour des problèmes de légalité et surtout de garantie de votre console – puisque cela nécessite une transformation physique – les hackers ont compris comment lancer le système d'exploitation Ubuntu sur la console et ont ainsi pu installer des émulateurs et les roms des jeux souhaités.
Des travaux similaires sont en cours sur la version japonaise de la console. Maintenant, quel intérêt pour le public ? La grosse majorité s'en moquera totalement, bien content d'avoir réussi à dénicher sa console en rupture, de pouvoir jouer avec une très bonne qualité à 30 titres pour 59 €, prix de base officiel.
Pour les autres souhaitant bidouiller les émulateurs, la plupart n'auront pas acheté la console, préférant jouer sur un des nombreux émulateurs présents dans le commerce, ou auront créé une solution à partir d'un Raspberry Pi – un investissement somme toute modeste. Dommage que Nintendo ait tenu à fermer sa console car le public aurait été intéressé par des jeux supplémentaires en téléchargement.
Source : Logic-sunrise
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La même pour une éventuelle SNES Mini ?
PS: un peu hs mais bon... D'après certains forums, la NES Mini serait plus costaud techniquement que son arrière-arrière-petite-fille...
C'est fort possible au regard du choix des composants sélectionnés. Entre la nécessaire gestion de l'HDMI et l'écart d'âge entre les deux consoles, l'optimisation doit aller en faveur de la NES Mini. Avoir au final un produit techniquement supérieur ne m'étonnerait pas.